l’essor de la toile inapparent Les lendemains de anniversaire avaient fréquemment une saveur particulière : on se réveillait de temps en temps avec la voix enrouée à force d’avoir chanté, mais le cœur léger, nourri des découvertes de la veille. À la bâtisse, le large banquet de retrouvailles laissait marauder une atmosphère simultan